Camille Brisson (elle/she)
Originaire de Trois-Rivières, elle est une artiste qui oeuvre en art actuel dans des projets expérimentaux interdisciplinaires.
Elle est notamment reconnue pour son implication culturelle chez Génération daVinci (Mtl), au centre Langage Plus d’Alma et au Centre d'Expérimentation Musicale.
Flûtiste originaire de Trois-Rivières et formée à l’Université de Montréal, j'œuvre en art actuel, tant visuel que musical.
Établie à Saguenay, je suis médiatrice culturelle et chargée de projet au centre d’art actuel Langage Plus et directrice artistique de l’organisme intersectoriel art-science Génération DaVinci en plus d’être active sur les différentes scènes de musiques nouvelles du Québec.
Depuis 2021, je poursuit en parallèle un projet de collectif Tendancielle, avec Isabelle Clermont. Notre démarche artistique est celle d’un artistes-collectif à l’auctorialité partagée et transdisciplinaire.
J'ai une forte inclinaison pour la création expérimentale interdisciplinaire. En art sonore, bien que flutiste de formation classique, je n’hésite pas à exploiter des objets, la voix ou le traitement électronique. Mon approche de l'art visuel est teinté d'un parcours musical. Inspirée par les concepts d’inconscient collectif et celui de la synchronicité (C.G.Jung illustrait ce concept par le très célèbre exemple du scarabée d'or)[1], l’art du trivia et de l’anecdote tout comme l'exploitation d’objets du quotidien, deviennent de puissants outils relationnels et de parfaits subterfuges créatifs .
Au moyen de processus participatifs, j'embrasse la prise de risque, distribuant les pouvoirs entre regardés/regardants. J'invite le spectateur à vivre l’expérience dialogique parfois même en solo et, par des gestes communs, transformer le rapport à l'œuvre en épreuve automédiale.
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[1] . C.G. Jung, «Synchronicité et Paracelsica», 1988.
« La ville est à la fois territoire et population, cadre matériel et unité de vie collective,
configuration d’objets physiques et nœud de relations entre sujets sociaux. »
- Y. Grafmeyer, «Sociologie urbaine», Nathan, 1994.
J'aspire au ramaillage du tissu social en investissant l'espace public et par la diffusion non-traditionnelle . Comme médiatrice culturelle, comme artiste ou comme maman, je me sens un devoir de prise de parole, de prise d'écoute, d'archive des récits et de diffusion du Monde.
Je m'intéresse à la quotidienneté, à la psychologie sociale, à la sociologie urbaine et à la morphologie sociale.
Exister est une co-création à laquelle on ne peut échapper. Par un chemin transversale, je vais à ta rencontre afin d'être transformée et porter en moi la gravure de ton passage. Car l'artiste, gorgée comme il est, n'est il pas une sorte de musée ?
Conception et développement d'outils pédagogiques;
Mise sur pied de projets spéciaux pour des groupes / organismes;
Expertise intersectorielle art / science.
Bande sonore/ design sonore;
Balado créatif;
Musique spontanée;
Collaborations à une multitude de projets multidisciplinaires.
Connaissance de la suite Affinity et de la suite Adobe, Davinci resolve, et autres logiciels libres de droits.
Montage d'exposition;
Installations, technique sonore;
Événementiel;
Communications (création de contenu, contacts médias, rédaction, etc.);
Création et gestion de projet ( préparer et rédiger des textes, subventions, budgets, barèmes, droits, archivage, etc.).
Voie à la mise sur pied d'une équipe;
Trouve et coordonne les fournisseurs;
Évaluation du matériel nécessaire;
Rédaction des outils, protocoles et communications;
Participation «terrain» à la réalisation de l'événement;
Technique;
etc.